Nicolas Rolland

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Mes Recherches dans le domaine du Management Stratégique
Recherche Territoires

Les modes de management et les stratégies qui permettent aux entreprises de se développer efficacement dans des environnements modernes.

En restant très classique, je suis un fervant partisant de l'apprentissage par l'action mais surtout des principes de l'organisation apprenante.

Je suis convaincu que l'un des principaux piliers de cette manoeuvre est la définition d'une ambition stratégique forte à laquelle les entreprises doivent se tenir. En effet, la plupart des entreprises définissent aujourd'hui des stratégies sans réellement savoir où elles vont. Arriver à définir une ambition stratégique et savoir s'y tenir reste un élément clé de la performance des entreprises. Evidement, les concepts fondateurs comme les "core competence" ou "strategic intent" voire le Balance Scored Card sont les pieds de voute de cet ensemble, mais les entreprises doivent aujourd'hui apprendre à les implémenter.

L'un des modes Mes recherches portent sur le management des réseaux inter-organisationnels et inter-organisationnels. Notamment, je m'attache à savoir comment les entreprises coordonnent, partagent et capitalisent leurs connaissances dans ces structures.

Les recherches menées sur la stratégie, sur la flexibilité et sur la réduction de l'incertitude ne font que désigner les styles de management innovants comme clé de voute de la performance. Les entreprises doivent pouvoir assurer de manière fluide des transferts de bonnes pratiques entre les différentes entités ou sites, elles doivent assurer un management participatif de leurs employés tout en restant à l'écoute de leurs clients et de leur environnement.

Voici quelques uns des thèmes que je traite:

L'optimisation de la gestion de la connaissance client.

La focalisation sur la relation client et sur connaissance du client pour réduire les coûts, répondre plus rapidement à ses besoins, et solidifier sa loyauté grâce à une approche globale, technologique et centralisée. Le management de la chaîne logistique et les relations partenariales verticales impliquent une connaissance des fournisseurs et des composants, ainsi qu’une maîtrise de la qualité totale des processus de production comme de services.

 

L'optimisation de la Coordination des Connaissances.

Les nouvelles formes organisationnelles nécessitent une améloration des processus de partage des bonnes pratiques entre les différentes unités de l'entreprise.

Les modes de production de la connaissance sont de plus en plus distribués; conséquences du développement des alliances stratégiques et des organisations en réseau. Ces nouvelles formes organisationnelles impliquent un décloisonnement de certaines fonction et donc des problématiques de partage de connaissances.

La Capitalisation des connaissances.

De nombreuses entreprises se retrouvent aujourd'hui dans la nécessité de capitaliser entre les différentes phases de projet ou sur des bonnes pratiques.

De même, la pyramide des ages inversées implique des départs à la retraite massif dans certaines entreprises. La performance de ces dernières dépend de leur capacité à sauvegarder et à transmettre les connaissances des partants vers les nouveaux salariés.

Industrie de la Musique

Alors que la FNAC et que Virigin déverrouillent leur offre de musique sur Internet, le marché français de la vente de disque subit cette année encore une chute de 14%. Cette dernière porte le repli du marché à 40% sur les 5 dernières années.

Hors vente numérique, le marché est aujourd'hui évalué à 800 millions d'euros contre 1.302 en 2002. Le plus inquiétant pour l'industrie est que cette dégringolade n'est pas compensée par le marché du DVD ou du numérique. Si les DVD semblaient être l'avenir de la musique lors du MIDEM 2003, ils ne sont aujourd'hui qu'un complement optionnel au marché du numérique. Ce dernier est quant à lui certes en hausse de 40% sur un an pour atteindre 40 millions d'euros, mais il n'est rien fasse au 128 millions perdus.

Concernant le contenu, le répertoire français constitue une fois encore la majorité de ces ventes avec 60% des ventes de disques en France.

Ce changement constitue un véritable remise en cause des modèles de profitabilité existants dans cette industrie. Les principales sources de revenus commencent à venir des ventes numériques, sur Internet ou sur les mobiles.

Pour le moment, les producteurs essayent désepéremment de faire augmenter les ventes de musique sur Internet. Cela leur permettrait de diminuer drastiquement les coûts de production et de distribution. Néanmoins, ce canal de distribution ne représente que 5% des ventes en France contre 25% aux Etats-Unis et 20% au Royaume Uni. Ceci s'explique aussi par le manque de liberté avec les fichier musicaux achettés sur Internet en France. C'est pourquoi VirginMega et FnacMusic ont décidé de dévérouiller chacun près de 200 000 morceaux afin de facilité l'interopérabilité. Le dernier dénoument dans cette histoire vient d'Apple, qui par l'intermédiaire de son très charismatique patron Steeve Jobs, demande aux majors de fournir leur morceaux sans DRM (acronyme de Digital Rights Management). Dans une lettre intitulée "pensées sur la musique" et publiée sur le site de la compagnie, le patron de la "pomme" propose une reflexion sur un monde sans protection. Il explique qu'il a été obligé de crééer un système de DRM (FairPlay) pour que les quatre majors ouvrent leur catalogue sur iTunes. Cette dernière plateforme représente 50% des ventes en France et vient tout juste de voire arriver sur le marché européen son grand rival nord américain eMusic.

Enfin, reste que la France apparaît que la championne des téléchargements illégaux. Une nouvelle étude sur le téléchargement montre que les internautes téléchargeant illégalement sont toujours les plus nombreux en France. Seuls 15 % des téléchargements seraient légaux.
Pour contreballancer cette tendance de suprémacie des réseaux peer-to-peer, les majors commencent à déplier des stratégies de replies. Par exemple, Universal (qui subit pour le moment la vitalité de Sony BMG entertainment) vient de signer avec la start-up amériacaine SpiralFrog, qui diffusera gratuitement son catalogue d'artistes sur une plate-forme de téléchargement financée par la publicité. D'autres maisons de disques telle qu'EMI semblent s'intéresser de près à ce modèle. Cependant, afin d'être plus efficiente, EMI souhaite se désengager de la production pour se focaliser sur la gestion des droits d'auteurs et donc de la partie édition musicale.